Je suis une touche-à-tout. Du baladi au yoga, en passant par la natation, le vélo, la course et le mini-trampoline, j’ai cherché la façon la plus conviviale de garder la forme. C’était avant le hula-hoop. J’ai 40 ans maintenant et, après la naissance de mon fils, il y a un peu plus de 3 ans, je cherchais une manière de me motiver pour bouger à nouveau. Une de mes bonnes amies m’a suggéré de me mettre au hooping. «Ah, ouais, ça a l’air chouette…» Je me suis acheté mon premier cerceau, qui est resté près d’un an à la même place. Jusqu’à ce que je m’y mette. Un petit 10 minutes par-ci, un petit dix minutes par-là… Une vidéo Youtube de temps en temps. Et avant que j’aie pu dire ouf, j’étais accro! Il fallait que je prenne des cours; Youtube, ça n’allait pas assez en profondeur. Et ainsi, de cours en cours, de pratique en pratique, j’ai repris confiance en moi et mon corps devenait de plus en plus fort et souple. Pratiquer le cerceau, c’est accumuler de petites victoires qui deviennent vite un trésor riche en puissance. J’atteins, dans le cercle du cerceau, un état de méditation, de concentration que j’ai rarement vécu ailleurs. Comme une transe qui nourrit le mental tout en faisant bouger le corps. C’est merveilleux! Le cerceau est une thérapie. Je l’appelle la thérapie par le cercle. Et c’est infini.